Le 9 juillet 200, le RCM rallie l’Union des citoyens et des citoyennes de Montréal (UCIM), présidée par Gérald Tremblay, ancien ministre du gouvernement du Québec et futur candidat à la mairie de la nouvelle ville. Après vingt-huit ans d’existence, le RCM disparaît de la scène politique montréalaise.
RCM_parti_20012000 RCM, le parti
Le gouvernement du Québec entreprend le vaste chantier de la réorganisation municipale, qui se traduira, à Montréal, par la fusion de toutes les villes de l’île et par la création de la Communauté métropolitaine de Montréal. Le RCM tente de faire valoir son point de vue dans ce vaste débat, en insistant sur la nécessité de rétablir l’équité fiscale à l’échelle des villes de la région métropolitaine.
RCM_parti_20001999 RCM, le parti
Une fois de plus, le RCM panse ses plaies et tente de refaire son unité.
RCM_parti_19991998 RCM, le parti
L’année 1998 est une année électorale. Outre le RCM, deux autres formations politiques affrontent le parti Vision Montréal de Pierre Bourque. Toutes deux comptent dans leurs rangs des anciens du RCM, dont Jean Doré qui cherche à reprendre le pouvoir en s’appuyant sur un nouveau parti politique municipal. Pierre Bourque est pourtant réélu, tandis que le RCM, très divisé, ne fait élire que quatre conseillers.
RCM_parti_19981997 RCM, le parti
Changement de garde au poste de Chef de l’opposition ainsi qu’à la présidence du RCM. Des conseillers indépendants rallient la formation politique.
RCM_parti_19971996 RCM, le parti
Le dossier majeur de l’année 1996 est celui de la privatisation de certains services municipaux, dont la production de l’eau potable. Le RCM contribue à la mise en place d’une coalition qui s’oppose à ce projet envisagé par l’administration Bourque. Elle aura gain de cause.
RCM_parti_19961995 RCM, le parti
Le RCM se livre à une réflexion en profondeur sur les causes de sa défaite électorale. Au conseil municipal, il se bat bec et ongles contre la volonté de l’administration Bourque de démanteler les structures de consultation et de participation mises en place après 1986.
RCM_parti_19951994 RCM, le parti
À l’élection municipale du 9 novembre, le RCM perd le pouvoir, n’ayant réussi à faire élire que neuf conseillères et conseillers. Jean Doré est battu par Pierre Bourque. Le rôle de Chef de l’opposition sera dorénavant occupé par André Lavallée.
RCM_parti_19941993 RCM, le parti
Le dossier des relations entre Montréal et sa région prend beaucoup de place, tout comme les débats concernant l’élargissement de la décentralisation administrative et politique de la Ville. Entretemps, d’autres conseillers quittent le caucus, et font la promotion d’un éventuel opposant à Jean Doré.
1992 RCM, le parti
L’année 1992 marque le 350è anniversaire de Montréal. Plusieurs espaces publics, équipements culturels ou scientifiques sont inaugurés. C’est une année faste pour Montréal. Mais la morosité de la situation économique entraîne des décisions budgétaires difficiles, et celles-ci engendrent de l’insatisfaction. Le RCM continue pour sa part de s’investir dans de nombreux dossiers municipaux, notamment le plan d’urbanisme et celui de la gestion des déchets.