1993 RCM, le parti

Le dossier des relations entre Montréal et sa région prend beaucoup de place, tout comme les débats concernant l’élargissement de la décentralisation administrative et politique de la Ville. Entretemps, d’autres conseillers quittent le caucus, et font la promotion d’un éventuel opposant à Jean Doré.

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1992 RCM, le parti

L’année 1992 marque le 350è anniversaire de Montréal. Plusieurs espaces publics, équipements culturels ou scientifiques sont inaugurés. C’est une année faste pour Montréal. Mais la morosité de la situation économique entraîne des décisions budgétaires difficiles, et celles-ci engendrent de l’insatisfaction. Le RCM continue pour sa part de s’investir dans de nombreux dossiers municipaux, notamment le plan d’urbanisme et celui de la gestion des déchets.

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1991 RCM, le parti

L’année 1991 est celle de la « réforme Ryan ». Le RCM se mobilise pour s’opposer à ces transformations imposées par le gouvernement québécois qui fragilisent les finances municipales. Par ailleurs l’administration entreprend un large processus de consultation en vue de produire son premier plan d’urbanisme, et les militants du RCM s’impliquent à fond dans ces consultations.

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1990 RCM, le parti

L’année 1990 est une année électorale. Le RCM revoit sa plate-forme, publie un bilan des quatre premières années de l’administration Doré et mobilise ses membres. Il remporte à nouveau le pouvoir, mais le taux de participation au vote est faible. Par ailleurs, les conseillers dissidents ont formé un parti d’opposition : la Coalition démocratique. Certains sont réélus.

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1989 RCM, le parti

Le RCM doit revoir ses règles de fonctionnement interne, compte tenu du départ de quatre conseillers dissidents. En même temps, il affirme sa présence auprès de l’administration et se prononce, à partir de consultations internes, sur plusieurs dossiers municipaux, notamment celui de l’habitation.

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1985 RCM, le parti

Outre le dossier Cadillac Fairview, le RCM et son président interviennent sur tous les enjeux qui concernent directement ou indirectement Montréal. En parallèle, on peaufine le programme, on approfondit la réflexion sur la démocratisation des institutions municipales et on commence à s’organiser en vue des élections prévues l’année suivante.

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1984 RCM, le parti

À la faveur d’une élection partielle, Jean Doré est élu au conseil municipal, et devient Chef de l’opposition à partir du printemps 1984. Par ailleurs, le RCM prend sa place dans le leadership du débat sur le dossier Cadillac Fairview. Il fait reconnaître sa vision de la gestion démocratique de l’aménagement du territoire en s’appuyant sur la démonstration des faiblesses des actions autocratiques du maire Drapeau.  

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1983 RCM, le parti

Fort de son statut d’opposition officielle, le RCM multiplie les interventions sur de nombreux enjeux municipaux, dont certains concernent l’aménagement du territoire. Outre les questions proprement municipales, on aborde également la réalité linguistique de Montréal, dans le but d’élaborer un positionnement consensuel. Enfin, la question de la participation des femmes à la vie politique continue de faire l’objet de propositions.

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