1991-1994 RCM, le parti
1974-1978 RCM, le parti
Premier acte : création du RCM et victoire dans l’opposition
1974
L’année 1974 débute par une mobilisation intense soutenue par le CRIM (Conseil régional intersyndical de Montréal) avec l’objectif d’organiser l’opposition au conseil municipal dirigé par le maire Jean Drapeau. Une réussite inattendue conduit 18 élus sous la bannière du RCM au conseil municipal.
1975
Solidement installé à l’Hôtel de Ville pour quatre ans, le parti développe ses structures, ses statuts et son leadership politique auxquels sont soumis les élus.
2000 RCM, le parti
Le gouvernement du Québec entreprend le vaste chantier de la réorganisation municipale, qui se traduira, à Montréal, par la fusion de toutes les villes de l’île et par la création de la Communauté métropolitaine de Montréal. Le RCM tente de faire valoir son point de vue dans ce vaste débat, en insistant sur la nécessité de rétablir l’équité fiscale à l’échelle des villes de la région métropolitaine.
RCM_parti_20001999 RCM, le parti
Une fois de plus, le RCM panse ses plaies et tente de refaire son unité.
RCM_parti_19991997 RCM, le parti
Changement de garde au poste de Chef de l’opposition ainsi qu’à la présidence du RCM. Des conseillers indépendants rallient la formation politique.
RCM_parti_19971996 RCM, le parti
Le dossier majeur de l’année 1996 est celui de la privatisation de certains services municipaux, dont la production de l’eau potable. Le RCM contribue à la mise en place d’une coalition qui s’oppose à ce projet envisagé par l’administration Bourque. Elle aura gain de cause.
RCM_parti_19961995 RCM, le parti
Le RCM se livre à une réflexion en profondeur sur les causes de sa défaite électorale. Au conseil municipal, il se bat bec et ongles contre la volonté de l’administration Bourque de démanteler les structures de consultation et de participation mises en place après 1986.
RCM_parti_19951994 RCM, le parti
À l’élection municipale du 9 novembre, le RCM perd le pouvoir, n’ayant réussi à faire élire que neuf conseillères et conseillers. Jean Doré est battu par Pierre Bourque. Le rôle de Chef de l’opposition sera dorénavant occupé par André Lavallée.
RCM_parti_19941993 RCM, le parti
Le dossier des relations entre Montréal et sa région prend beaucoup de place, tout comme les débats concernant l’élargissement de la décentralisation administrative et politique de la Ville. Entretemps, d’autres conseillers quittent le caucus, et font la promotion d’un éventuel opposant à Jean Doré.