1974-1978 RCM, le parti

Premier acte : création du RCM et victoire dans l’opposition

1974
L’année 1974 débute par une mobilisation intense soutenue par le CRIM (Conseil régional intersyndical de Montréal) avec l’objectif d’organiser l’opposition au conseil municipal dirigé par le maire Jean Drapeau. Une réussite   inattendue conduit 18 élus sous la bannière du RCM au conseil municipal.

1975
Solidement installé à l’Hôtel de Ville pour quatre ans, le parti développe ses structures, ses statuts et son leadership politique auxquels sont soumis les élus.

2001 RCM, le parti

Le 9 juillet 200, le RCM rallie l’Union des citoyens et des citoyennes de Montréal (UCIM), présidée par Gérald Tremblay, ancien ministre du gouvernement du Québec et futur candidat à la mairie de la nouvelle ville.  Après vingt-huit ans d’existence, le RCM disparaît de la scène politique montréalaise.

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2000 RCM, le parti

Le gouvernement du Québec entreprend le vaste chantier de la réorganisation municipale, qui se traduira, à Montréal, par la fusion de toutes les villes de l’île et par la création de la Communauté métropolitaine de Montréal. Le RCM tente de faire valoir son point de vue dans ce vaste débat, en insistant sur la nécessité de rétablir l’équité fiscale à l’échelle des villes de la région métropolitaine.

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1998 RCM, le parti

L’année 1998 est une année électorale. Outre le RCM, deux autres formations politiques affrontent le parti Vision Montréal de Pierre Bourque. Toutes deux comptent dans leurs rangs des anciens du RCM, dont Jean Doré qui cherche à reprendre le pouvoir en s’appuyant sur un nouveau parti politique municipal. Pierre Bourque est pourtant réélu, tandis que le RCM, très divisé,  ne fait élire que quatre conseillers.

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1996 RCM, le parti

Le dossier majeur de l’année 1996 est celui de la privatisation de certains services municipaux, dont la production de l’eau potable. Le RCM contribue à la mise en place d’une coalition qui s’oppose à ce projet envisagé par l’administration Bourque. Elle aura gain de cause.

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1995 RCM, le parti

Le RCM se livre à une réflexion en profondeur sur les causes de sa défaite électorale. Au conseil municipal, il se bat bec et ongles contre la volonté de l’administration Bourque de démanteler les structures de consultation et de participation mises en place après 1986.

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1994 RCM, le parti

À l’élection municipale du 9 novembre, le RCM perd le pouvoir, n’ayant réussi à faire élire que neuf conseillères et conseillers. Jean Doré est battu par Pierre Bourque. Le rôle de Chef de l’opposition sera dorénavant occupé par André Lavallée.

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